• Si le nombre d'emplois a tendance à augmenter, notamment dans les régions Île-de-France, Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d'Azur, les jeunes diplômés, qui sont nombreux, peinent parfois à s'insérer. La mobilité ainsi qu'une grande motivation se révèlent donc nécessaires pour trouver du travail.

    Le coiffeur désirant se spécialiser peut préparer une des deux mentions complémentaires au CAP coiffure (coloriste-permanentiste ou styliste-visagiste) ou le CAP perruquier-posticheur.

    Ce dernier diplôme lui permettra d'exercer dans les milieux très prisés du cinéma et du théâtre. Néanmoins, les places restent rares et d'autant plus difficiles à obtenir qu'elles sont très convoitées.

    Le titulaire du CAP coiffure peut aussi diversifier son activité en suivant une formation en esthétique. Un coiffeur-esthéticien est habilité à dispenser des soins du visage et du corps, à faire des manucures et à vendre des produits de beauté, une double compétence de plus en plus appréciée.

    Pour ouvrir un salon de coiffure, le brevet professionnel ou le brevet de maîtrise sont nécessaires. Il est toutefois possible d'acheter un salon sans ces diplômes, à la condition d'en confier l'exploitation à une personne qualifiée. Le BM et le BP permettent en outre à leurs titulaires de former des apprentis.


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